A L'AFFICHE
De et avec Judith Margolin
Mise en scène : James Joint et Judith Margolin
Lumières : Denis Schlepp
Création sonore : Christophe Danvin
Avec les voix de : Louise Ghegan et Brigitte Faure
Mise en scène : James Joint et Judith Margolin
Lumières : Denis Schlepp
Création sonore : Christophe Danvin
Avec les voix de : Louise Ghegan et Brigitte Faure
Mudith Monroevitz c'est la réincarnation ashkénaze de Marilyn Monroe !
Retrouvez Mudith Monroevitz dans un spectacle à l'humour piquant et impertinent parsemé d'émotion, de poésie et d'onirisme.
Mudith se prend pour la réincarnation ashkénaze de Marilyn Monroe depuis son enfance. A 35 ans, elle se retrouve confrontée à ses névroses dans une quête introspective, ouvrant les poupées russes qui la constituent et qui la poussent à s'interroger sur ses origines, sur elle-même jusqu'à trouver sa véritable identité et se libérer.
Ce seule-en-scène, où se mêlent chant, danse et une multitude de personnages, puise une partie de ses références dans l'humour corrosif et cru de Blanche Gardin et la folie douce de la série The Marvelous Mrs Maisel.
Au-delà de l'humour, c'est un spectacle finement écrit, culotté, hilarant et émouvant à la fois, qui sent bon le tarama et la carpe farcie !
Spectacle lauréat Fonds SACD Humour
Note d'intention :
Comment accepter de ressembler à Barbara Streisand alors qu'on pensait être Marilyn Monroe ? En devenant la réincarnation -ashkénaze- de cette dernière bien sûr. Mais comment faire ensuite si on découvre au cours d'une nuit improbable qu'on n'est peut-être PAS aussi ashkénaze qu'on le croyait ? Qui est Mudith, alors ?
Mudith Monroevitz est née de ma volonté de faire rire et de ma quête très personnelle d'identité. Le mélange de mes origines "mi-juive mi-raisin", la quête de soi en tant qu'actrice et en tant que femme de 35 ans sans enfants, tout ceci constitue le noyau d'écriture de Mudith Monroevitz.
Le fil conducteur du spectacle, c'est son rendez-vous avec Marcus, l'acteur "avec un césar du meilleur second rôle sur une étagère" qui va l'entraîner du restaurant à son appartement. L'évolution de leur rendez-vous va ponctuer le spectacle, construit comme un véritable voyage initiatique nocturne pour Mudith, qui depuis l'appartement de Marcus, va devoir affronter "le monstre", au propre comme au figuré, pour se révéler à elle-même et s'accepter pleinement, enfin.
Au cours du spectacle, le spectateur découvrira non seulement Mudith, mais également sa mère, Marcus, et une multitude d'autres personnages à travers de rocambolesques situations. Pendant 1h10, Mudith ouvre les poupées russes qui la constituent pour en trouver une autre, de plus en plus précisément dessinée, chaque fois de plus en plus petite, jusqu'à rentrer... dans son propre NEZ pour trouver enfin l'ultime réponse à ses questions et accepter sa véritable identité.
Dans le spectacle, plusieurs aspects de la femme se confrontent : le fantasme d'une féminité glamour hollywoodienne et la réalité d'une femme de 35 ans, ancrée dans son époque, qui jongle avec ses névroses et ses maladresses mais qui n'hésite non plus pas à exprimer haut et fort ses envies à son amant. Mudith, c'est l'histoire d'une femme qui se libère et s'accepte telle qu'elle est : parfaite dans ses imperfections.
A l'instar des deux grandes sources d'inspiration et d'admiration que sont Blanche Gardin et Louis CK, qui n'hésitent pas à "convoquer l'affreux" dans leurs créations, j'ai voulu faire de Mudith un personnage sans filtre, qui n'hésite pas à interroger avec sincérité la part la plus tabou et triviale d'elle-même pour trouver des réponses.
Enfin, contrairement à ce que le titre pourrait suggérer, ce n'est pas un spectacle centré sur la religion, ce n'est pas un spectacle communautaire. Bien au contraire, le qualificatif ashkénaze n'est qu'un point d'entrée vers une quête d'identité totale et un parcours humain des plus intimes, qui tente de toucher à l'universel.
La volonté de cette création est de faire co-exister le glamour et le ridicule, de plonger le spectateur dans cet univers absurde et poétique, de l'embarquer sur des montagnes russes à travers cette folle nuit, afin qu'une fois rentré chez lui, celui-ci s'interroge à son tour sur son identité en partant explorer l'intérieur de son propre nez.
Judith Margolin
* * *
Production :Boulegue Production
Crédit photo : Christine Coquilleau - Laura Guili
Mudith se prend pour la réincarnation ashkénaze de Marilyn Monroe depuis son enfance. A 35 ans, elle se retrouve confrontée à ses névroses dans une quête introspective, ouvrant les poupées russes qui la constituent et qui la poussent à s'interroger sur ses origines, sur elle-même jusqu'à trouver sa véritable identité et se libérer.
Ce seule-en-scène, où se mêlent chant, danse et une multitude de personnages, puise une partie de ses références dans l'humour corrosif et cru de Blanche Gardin et la folie douce de la série The Marvelous Mrs Maisel.
Au-delà de l'humour, c'est un spectacle finement écrit, culotté, hilarant et émouvant à la fois, qui sent bon le tarama et la carpe farcie !
Spectacle lauréat Fonds SACD Humour
Note d'intention :
Comment accepter de ressembler à Barbara Streisand alors qu'on pensait être Marilyn Monroe ? En devenant la réincarnation -ashkénaze- de cette dernière bien sûr. Mais comment faire ensuite si on découvre au cours d'une nuit improbable qu'on n'est peut-être PAS aussi ashkénaze qu'on le croyait ? Qui est Mudith, alors ?
Mudith Monroevitz est née de ma volonté de faire rire et de ma quête très personnelle d'identité. Le mélange de mes origines "mi-juive mi-raisin", la quête de soi en tant qu'actrice et en tant que femme de 35 ans sans enfants, tout ceci constitue le noyau d'écriture de Mudith Monroevitz.
Le fil conducteur du spectacle, c'est son rendez-vous avec Marcus, l'acteur "avec un césar du meilleur second rôle sur une étagère" qui va l'entraîner du restaurant à son appartement. L'évolution de leur rendez-vous va ponctuer le spectacle, construit comme un véritable voyage initiatique nocturne pour Mudith, qui depuis l'appartement de Marcus, va devoir affronter "le monstre", au propre comme au figuré, pour se révéler à elle-même et s'accepter pleinement, enfin.
Au cours du spectacle, le spectateur découvrira non seulement Mudith, mais également sa mère, Marcus, et une multitude d'autres personnages à travers de rocambolesques situations. Pendant 1h10, Mudith ouvre les poupées russes qui la constituent pour en trouver une autre, de plus en plus précisément dessinée, chaque fois de plus en plus petite, jusqu'à rentrer... dans son propre NEZ pour trouver enfin l'ultime réponse à ses questions et accepter sa véritable identité.
Dans le spectacle, plusieurs aspects de la femme se confrontent : le fantasme d'une féminité glamour hollywoodienne et la réalité d'une femme de 35 ans, ancrée dans son époque, qui jongle avec ses névroses et ses maladresses mais qui n'hésite non plus pas à exprimer haut et fort ses envies à son amant. Mudith, c'est l'histoire d'une femme qui se libère et s'accepte telle qu'elle est : parfaite dans ses imperfections.
A l'instar des deux grandes sources d'inspiration et d'admiration que sont Blanche Gardin et Louis CK, qui n'hésitent pas à "convoquer l'affreux" dans leurs créations, j'ai voulu faire de Mudith un personnage sans filtre, qui n'hésite pas à interroger avec sincérité la part la plus tabou et triviale d'elle-même pour trouver des réponses.
Enfin, contrairement à ce que le titre pourrait suggérer, ce n'est pas un spectacle centré sur la religion, ce n'est pas un spectacle communautaire. Bien au contraire, le qualificatif ashkénaze n'est qu'un point d'entrée vers une quête d'identité totale et un parcours humain des plus intimes, qui tente de toucher à l'universel.
La volonté de cette création est de faire co-exister le glamour et le ridicule, de plonger le spectateur dans cet univers absurde et poétique, de l'embarquer sur des montagnes russes à travers cette folle nuit, afin qu'une fois rentré chez lui, celui-ci s'interroge à son tour sur son identité en partant explorer l'intérieur de son propre nez.
Judith Margolin
* * *
Production :Boulegue Production
Crédit photo : Christine Coquilleau - Laura Guili
PRESSE
LE FIGARO
«Un glamour impayable et très pro. Une énergie comique sans répit.»
FIGARO MAGAZINE
«Quelle comédienne ! Truculente, énergique, directe et sans façon»
FRANCE INTER
«Coup de coeur LE MASQUE ET LA PLUME»
LE PARISIEN
«Une des dix futures stars de l'humour »
CAUSETTE
«Un show décapant sur le consentement ! »
LE MASQUE ET LA PLUME
«Très cinématographique, truffé d'idées formidables et surtout très drôle !»
VERSION FEMINA
«Jubilatoire et intelligent»
TELERAMA TT
«Un seule-en-scène touchant et drôle sur l'affirmation de soi et l'héritage familial (...) Fragile, crue, attendrissante et loufoque à la fois »
LA PROVENCE
«Un énorme coup de cœur, Judith Margolin est époustouflante ! »
PARISCOPE
«Un bagout d'amazone des temps modernes, une tornade de glamour et d'humour ! »
L'HUMANITE
«Glamour et crue, pétroleuse et désespérée, la Marilyn des Buttes-Chaumont danse, change de voix, passe du rire à l’émotion. (...) Un irrésistible one-woman-show décapant sur la quête d'identité. Le cheminement d’une femme qui se libère des injonctions de la société et du désir des hommes. Salutaire ! »
ELLE MAGAZINE
«Un de ces spectacles qui devraient être remboursés par la sécurité sociale
tant ils font du bien au moral !»
TOUTELACULTURE.COM
«Dans ce spectacle joliment mis en scène, lumière, vidéos, moments un
peu surréalistes de voyages à l’intérieur de l’héroïne, voix off, danses et
chorégraphies ponctuent intelligemment l’heure dix de spectacle. Un One Woman Show merveilleusement gaulé qui fait salle comble et comble la
salle à chaque fois. A découvrir d’urgence !»
TWENTY MAGAZINE
«Une comédienne aussi barrée qu’attachante.»
VICTOIRE TUAILLON - COEUR SUR LA TABLE
«Un bagout d'amazone des temps modernes»
FLUIDE GLACIAL
«Du burlesque, du tragique, du cash, du tendre, une belle ode à la vie.»
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